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Anime été 2020 : The Misfit of Demon King Academy

The Misfit of Demon King Academy est un anime que vous pouvez voir tous les samedis à 18h sur Wakanim. Shū est l’auteur des light novel originaux publié d’abord sur le web avant d’être publié chez Kadokawa avec les illustrations de Yoshinori Shizuma. La série tout tomes confondu compte un million d’exemplaires, cette série de 13 épisodes étaient donc très attendue au Japon.

Le roi démon tyrannique s’est réincarné après 2000 ans. Cependant, il n’arrive pas à trouver sa place à l’Académie qui forme les candidats au titre de roi démon, il a du mal à s’intégrer. Anos Voldigord était un roi démon tyrannique. Après avoir éradiqué les humains, les esprits et même les dieux, il commença à s’ennuyer de cet état de guerre perpétuelle et se réincarna avec un idéal de paix. Il ne s’attendait pas après 2000 ans à ce que ses descendants aient été ramollis par des siècles de paix et à ce que la magie ne soit plus que l’ombre d’elle-même. Anos intègre alors l’Académie du Roi Démon qui enseigne à tous les prétendants au rôle de roi démon. Cependant, les professeurs de l’Académie n’arrivent pas à déceler ses vrais pouvoirs et en fait un paria. Dans leur tête, le roi démon légendaire était quelqu’un de tout à fait différent. Alors que tout le monde le rejette, il peut tout de même compter sur Misha, la seule élève qui lui est sympathique. Le roi démon en mal d’intégration va devoir refaire l’ascension du monde démonique !

©2019 Shu/KADOKAWA CORPORATION/Demon King Academy

Le titre original est Maō gakuin no futekigōsha: Shijō saikyō no maō no shiso, tensei shite shison-tachi no gakkō e kayō (je sais que vous l’avez pas lu en entier) ce qui veut dire L’Inadéquat de l’Académie du Roi-Démon : Le Roi Démon le plus fort de l’histoire se réincarne et va à l’école avec ses descendants. Oui, c’est ce genre de titre super long qu’adore les Japonais, je vais me contenter de « Demon King Academy ». Ici rien à voir avec l’école d’Iruma, c’est bel et bien un démon qui veut prendre le pouvoir. Anos veut littéralement reprendre la place qui lui est dû. Petit soucis personne ne le reconnait, alors qu’il et totalement cheaté de base. Il utilise des sorts qu’il a créé lui-même il y a plus de 2000 ans et reprend les profs qui du coup lui son inférieur. Mais que c’est-il passé ? Pourquoi n’est-il pas immédiatement reconnu par les piliers ?

C’est le SILVER LINK. qui s’est occupé de la version anime avec à la réalisation Masafumi Tamura, Jin Tanaka au scénario et Kazuyuki Yamayoshi au chara design. C’est pas laid, c’est pas non plus exceptionnel. Ça manque quand même d’ambition, tu sens que c’est là pour faire connaître un peu plus le light novel sans pour autant mettre trop de thunes dedans.

Les musiques sont composées par Keiji Inai reste assez sympathique. Le générique de début, Seikai fuseika est interprété par CIVILIAN, alors que celui de fin Hamidashimono est lui interprété par Tomori Kusunoki qui double Misha dans l’anime.

Je ne vais pas vous dire que c’est l’anime de l’année, mais bon il se laisse regarder. J’avais juste regardé le premier épisode sans être vraiment convaincu. Puis j’ai enchainé les épisodes 2 à 4 et j’ai apprécier le développement des personnages de Misha et sa sœur. Il y a un peu d’humour pince sans rire, il faut dire que Anos est le big boss et qu’en vrai il éclate n’importe qui. J’aime aussi beaucoup ses parents qui sont totalement à la ramasse, mais fort sympathique.

Sans trouver The Misfit of Demon King Academy exceptionnel, j’ai tout de même passer un bon moment. Cet anime est bourré de clichés et n’invente pas la roue, mais il fait le job pour l’été en proposant un personnage charismatique et démoniaque à souhait.

Avis après visionnage

C’est clairement un anime que j’aurais vu, mais dont j’aurais bien du mal à me souvenir de quoique ce soit dans un an. Au niveau de la réalisation ou de l’animation on en prend jamais plein les yeux. L’histoire est cousu de fil blanc et même la grande révélation et explication à la fin laisse un goût de « mouais » dans la bouche… Et les deux combats avec son harem choral, c’est limite des moments de gêne… Au final, il y avait des idées, mais ça rste bien trop classique.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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