Cinéma

A tous les garçons que j’ai aimés ou les conséquences de lettres oubliées

To All the Boys I’ve Loved Before (A tous les garçons que j’ai aimés) est un film Netflix tiré du livre du même nom de la jeune auteure américaine Jenny Han. Best seller aux US, c’est un bol d’air frais grâce à une histoire mignonne comme tout. Jenny Han a écrit deux livres qui font suite à To All the Boys I’ve Loved Before et qui raconte la suite des interrogations et de la relation entre son héroïne et son petit-ami. Seront-ils aussi adaptés ? Affaire à suivre. Les trois romans sont disponiblse en français chez Panini.

Et si les garçons pour lesquels vous aviez eu le béguin découvraient vos sentiments… tous en même temps ? Lara Jean Song conserve ses lettres d’amour dans une boîte à chapeau que sa mère lui a donnée. Ce ne sont pas des lettres qu’elle a reçues, ce sont celles qu’elle a écrites. Une pour chaque garçon qu’elle a aimé. Lorsqu’elle écrit, elle ose ouvrir son cœur et dire toutes les choses que jamais elle n’exprimerait dans la vraie vie, car ses lettres ne sont que pour elle. Jusqu’au jour où Lara découvre que ses lettres secrètes ont toutes été postées… Elle doit soudain faire face à son passé amoureux, la situation devient vite hors de contrôle mais qui sait ? Quelque chose de positif pourrait ressortir de ces lettres, après tout.

C’est un film agréable, frais et drôle. Le père et la sœur de Jane sont assez souvent en décalage, leurs réactions sont amusantes et contribuent à l’effet de fraîcheur. Le personnage de Jane est touchant. Elle a des principes comme ne pas piquer l’ex. de sa sœur même si elle en crève d’envie ou bien aider Peter.

C’est certes une bluette, mais chacun s’identifiera assez vite à Jane et à ses déboires amoureux. Allez ça fait du bien de temps en temps d’avoir juste un feel good movie histoire d’égailler votre soirée !

To All the Boys I’ve Loved Before est une jolie découverte que nous offre Netflix, un film original dans le ton de Love, Simon. Un film qui fait chaud au cœur où un amour doux et sincère se forme. Dis comme ça c’est cul-cul mais ça fait du bien et c’est bien ça le principal.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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