Ce que je ramène du Japon ? (2e partie)
J’ai toujours rêvé de réaliser un carnet de voyage. Ceux que font certains internautes me sidère. J’ai tenté d’en faire un lors de mon voyage en décembre 2005. Hélas je n’ai tenu qu’une misérable journée. J’étais dépitée.
Parce que je voulais marquer le coup pour mon grand retour au Japon en 2016 après huit longues années d’attente, j’ai décidé de retenter le carnet de voyage. Pour être sûr d’aller jusqu’au bout je l’ai pensé autrement.
Sur place
J’ai acheté un cahier pas trop épais, mais avec du papier agréable. Au début j’ai écrit le sommaire, puis deux pages de listes post départ (argent, affaire à emporté, check des différentes étapes). Je me suis familiarisée avec lui.
J’ai pris une trousse plate facile à ranger remplis de stylos de couleurs, d’un bâton colle et d’un stylo bille. Je n’ai pas eu besoin de ciseaux.
Ensuite, j’ai balisé le carnet. Je l’ai découpé en plusieurs partis. Deux pages pour les petites journées de voyages et de transfères et quatre pour une journée entière. J’ai inscrit la date et j’ai laissé le reste blanc.
A la fin du carnet j’ai fabriqué une pochette en plastique pour y glissée mes cartes.
J’ai autant utilisé ces dernières pour me repérer sur place que pour illustrer mes pages. Pour mon planning j’avais défini des endroits à visiter, mais toutes les journées n’étaient pas fixe. Je me laissais le loisir de les interchanger selon la météo. Je préfère faire les boutiques sous la pluie que de visiter un jardin ou un sanctuaire.
Même si j’ai eu parfois un peu de mal, mais globalement il est remplis, j’ai rajouté les tampons et les tickets d’entrées. Je voulais dessiner dedans, mais je n’ai pas vraiment réussi. Cela prend du temps et je n’en avais pas forcément. Qui plu est j’étais fatiguée à cause décalage horaire.
En revenant, j’ai pu remplir quelques vides et je suis plutôt contente du résultat. Il n’est pas vraiment comme je l’espérais, mais il n’est pas si mal en fin de compte. Il reste quelques pages blanches, surtout à Hong-Kong, où je n’ai vraiment pas eu beaucoup de temps pour les remplir.
Le retour
En revenant, j’ai l’habitude de mettre tous mes souvenirs de voyages dans un porte-vue.
Je conserve religieusement mes divers tickets, les tracts, même les pubs qu’on me donne. Les emballages de gâteaux, les petits cadeaux dans les paquets de gaufrettes. Ce sont toujours des souvenirs à conserver.
A Hong-Kong j’ai eu moins de choses, déjà parce que nous y sommes restés beaucoup moins longtemps, cela ne m’a pas empêché de garder la moins carte de transport ou facturette. Comme nous étions deux mon chéri m’a donné ses tickets pour que je puisse en avoir un dans le carnet en déco et l’autre dans mon porte-revue.
J’achète aussi quelques cartes postales pour les garder dans mon porte-vue.
Je fais ça pour tout mes voyages. J’ai donc encore mes tickets de caisse de mon premier voyage en 1998. J’ai ranger soigneusement le carnet dans le porte-revue. quand j’ai des coups de blues je peux aller y jeter un œil et me remémorer les bon souvenirs.