FATE/Zero vol. 3 : boucheriiiiie !!!
Après un premier volume explicatif un peu longuet, un 2e tome prometteur avec de l’action et des révélations voici qu’arrivait à point nommé le 3e volume de FATE/Zero !
La violente confrontation ayant éclaté dans le quartier des entrepôts à Fuyuki se termine enfin pour Saber prise entre les coups de Lancer, forcé par son Maître à l’achever, et de Berserker, servant fou au comportement imprévisible.
Apparaît alors Caster, le dernier servant dont la frénésie complique encore un peu plus la tournure de cette quatrième Guerre sainte…
Les combats se font plus rare cette fois, nous revenons à l’atmosphère plus feutré du premier volume avec son lot de complots et de révélations.
Ce qui m’a interpellé dans ce 3e volume c’est son haut niveau de violence. Il n’y a pourtant pas beaucoup de combat, mais elle se traduit autrement.
Tout d’abord il y a Ryuunosuke, le lycéen psychopathe et sadique totalement dérangé, tout autant que son servent Caster alias Gilles de Rais persuadé d’avoir retrouvé Jeanne D’Arc dans le visage de Saber. Certaines planches sont insoutenable aussi morbide que certains serial killer d’Esprits Criminels.
Plus loin nous découvrons Kariya, le maître de Berserker, qui supporte les vers de son aïeul pour sauver la petite Sakura de cette guerre Sainte.
Bref, ça ne rigole pas, l’univers très sombre, voir morbide de FATE/Zero ne se dément pas au fil des pages. Vivement la suite ?!
couverture : Fate/zero © Shinjiro © Nitroplus / TYPE-MOON Edited by KADOKAWA SHOTEN First published in Japan in by KADOKAWA CORPORATION, Tokyo
Merci à Ototo !
Effectivement, je m’attendais à de la violence mais pas plusieurs pages de « tiens si on testait le son merveilleux des boyaux en live ».
(sinon j’ai toujours trouvé esprit criminels soft, profiler ou X files me mettait plus mal à l’aise mais bon j’étais plus jeune aussi… ou utopia pour du plus récent).
Je le lisais dans le train j’espérais que personne ne regarde au dessus de mon épaule XD
Ah oui ? Non X files ne m’a jamais rien fait lol Même si j’aimais beaucoup !