Cinéma

Bright : Will Smith débarque sur Netflix

Le bashing était sans doute inévitable pour Bright. De la fantasy avec Will Smith (qui n’est plus trop apprécié par les critiques et le public depuis quelques années…), à la réalisation  David Ayer (Suicide Squad) dont le dernier film est resté en travers de la gorge de beaucoup de fan de DC comics, puis bon c’est toujours cool de pouvoir dire que Netflix fait une merde parce que c’est dans l’air du temps. Il est arrivé vendredi 22 décembre mais est-ce si mauvais ?

Bright

Synopsis : Dans un monde contemporain alternatif, humains, orcs, elfes et fées coexistent depuis le début des temps. Défiant les genres, Bright est un film d’action qui suit deux policiers issus de milieux différents, Ward et Jakoby. Confrontés aux ténèbres lors d’une patrouille nocturne de routine, ils voient leur avenir et leur monde se métamorphoser à jamais.

Avis : Bright c’est le nouveau film Netflix pour Noël, pas un film de Noël avec des lutins et un bonhomme rouge, mais un film avec des elfes pas toujours sympa, des humains corrompus et de la magie.

Bright n’est pas exempt de défauts notamment au niveau du montage lors des scènes de combat, le rythme général est parfois poussif et les situations rocambolesque. Cependant, il se laisse regarder. Si, si j’ai passé un bon moment. Ce n’est certes pas le film de l’année, mais ils y ont mis les moyens. Esthétiquement, il est vraiment chouette notamment les elfes.

Ce monde d’urban fantasy qui fait forcément penser au jeu de rôle Shadowrun est plutôt bien foutu. Les orques, les elfes et un tas d’autres créatures cohabitent avec les humains.

Le duo Will Smith et Joel Edgerton fonctionne bien les répliques font mouches. Les autres personnages sont encore assez peu développer, mais il y a un réel potentiel.

Laissez lui une petite chance en oubliant que c’est David Ayer aux commandes et rappelez-vous que Will Smith est un bon acteur même si ses dernières prod ne sont pas toutes au niveau. Je regarderais le 2 pour voir où ça nous mène !

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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