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Anime hiver 2021 : BACK ARROW

BACK ARROW est un anime original du Studio VOLN et diffusé tous les vendredis à 17h30 sur Wakanim. La série sera composé de 24 épisodes et nous réserve sans doute bien des rebondissements.

De quoi ça parle ?

La série se déroule dans le pays de Lingalind un continent complètement entouré d’un mur massif. Les habitants de Lingalind vénèrent le mur comme un dieu. La croyance veut qu’il n’y ait rien au-delà des murs.
Des capsules de vœux sont envoyés une fois par mois par des inconnus, au hasard… Souvent des armes, elles sont considérées comme des cadeaux du mur.
Un jour une capsule atterrit dans le village d’Edger et à l’intérieur se trouve un jeune homme amnésique dont le seul souvenir est qu’il vient d’au-delà du mur. Prenant le nom de Back Arrow, il cherche franchir le mur pour retrouver la mémoire. Son présent se confond avec les conflits des deux nations en présence.
Les Bind warpers (brassards métalliques) permettent d’invoquer et de contrôler des armures mécanique géante les Briheight. Les capacités des Briheight sont liées au conviction du détenteur.

©Goro Taniguchi, Kazuki Nakashima, ANIPLEX/BACK ARROW COMMITTEE
Un démarrage au diesel

Autant vous dire qu’il va falloir vous accrocher un peu pour vraiment entrer dans le monde de Back arrow. Au début, les éléments sont un peu flous, on comprend pas trop le pourquoi du comment et ce n’est que petit à petit qu’on récupère les indices sur qui est qui et pourquoi tout le monde semble combattre. Mais est-ce vraiment une surprise quand on connait le style de Kazuki Nakashima ? Ce monsieur est l’auteur de BNA, Kill la Kill, Promare et les deux films de Gurren Lagann. Oui, rien que ça. Mais pour une fois il ne s’est pas associé au studio TRIGGER, mais VOLN.
Grosse différence de moyens, l’animation est moyenne. Pourtant l’équipe aux commandes est un amalgame de talents.

Retour vers le mur

Cette série d’aventure à été confié à Gorō Taniguchi, le créateur de la saga Code Geass, on le retrouve sur une autre série cette saison : Skate-Leading☆Stars. Les personnages ont été créé par Shinobu Ohtaka la dessinatrice de MAGI et Orient. Le chara design lui est de Toshiyuki Kanno (GARO: THE ANIMATION, Black Blood Brothers). Mais on retrouve malgré tout ce qui fait le charme de ses histoires. De l’humour, des gros robots, de l’action et du mystère. Donc si vous arrivez à passer le cap des premiers épisodes vous devriez prendre un certain plaisir à suivre la série.

Pour les compositions musicale, ils ont pris un cador du genre Kōhei Tanaka dont les musiques ont bercé notre enfance avec entre autre Dirty Pair, Une vie nouvelle, Otaku no Video, Sakura Taisen, Gunbuster et j’en passe la liste de ses pépites est très longue. Le générique de début, Dawn, est interprété par la talentueuse LiSA qui est au sommet de sa gloire après avoir chanté les deux génériques de Demon slayer. Le générique de fin Sekai no Hate est interprété par Shuka Saitō.

Trop tôt pour les conclusions ?

Honnêtement, je ne sais pas où ça va, mais je regarder malgré tout pour savoir justement où toute celle belle équipe va nous emmener. Voir les protagonistes de l’histoire débarquer dans le village des beaux-gosses, je trouve l’idée terrible. Ce n’est certes pas un coup de cœur. Cependant, j’espère vraiment être surprise et passer un bon moment. Car au final, c’est une série longue et il faut du temps pour qu’elle se mette en place.

Si vous aimez les robots laissez-vous tenter par BACK ARROW. La porte d’entrée pour ce nouvel univers n’est certes pas évident, mais on pourrait bien avoir une belle surprise au final. La série compte 24 épisodes et j’espère qu’elle prendra tout son sens par la suite.

Avis après visionnage

Kazuki Nakashima sans TRIGGER c’est pas ça ? J’aurais bien dû mal à vous contredire. Des longueurs interminables, un rythme inégal, des quêtes annexes qui étire le scénario en longueur. On s’ennuie, on perd de l’attention au fur et à mesure que l’anime avance malgré un regain d’intérêt au deux tiers qui m’a fait espérer. Au final, un anime en demi teinte. Certes je suis allée jusqu’au bout, mais clairement il manque de rythme et d’envergure. Dommage.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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