Du 19 au 21 septembre avait lieu la première édition du festival Tokyo Crazy Kawaii (TCK) à Paris au Parc floral à Vincennes.
Un salon sans contre façon chinoise ? Un salon avec que des stands japonais ? Des activités typiquement japonaises ? C’était le pari fou de Tokyo Crazy Kawaii.
Le salon était divisé en plusieurs parties, elles représentaient un quartier de Tokyo : Shibuya, Harajuku, Akihabara et Tsukiji. L’année prochaine il ne serait sans doute pas inintéressant d’ajouter le quartier d’Asakusa pour les stands sur la culture plus traditionnelle. Car certains d’entre eux avec des produits plus traditionnelles semblaient orphelins éparpillés dans le salon. On pouvait par exemple participer à une cérémonie du thé, acheter des furoshiki ou des kokeshi.
Après deux jours de ce salon hors du commun je dois dire que j’ai eu une impression très positive. Il me semble que le gros défaut du salon était son manque de contenu (on faisait le tout des stands en 20 min chrono) compte tenu du prix élevé de l’entrée (18€). Il fallait venir pour une des attractions (concerts, défilé etc.). Il y a cependant un goût de trop peu. C’est une première édition, il faut espéré que les suivantes seront plus affinées.
Les concerts étaient vraiment sympa, même si je n’étais fan d’aucuns artistes. La scène était en extérieur (heureusement il a fait beau), le son était par contre très fort et les basses souvent bien trop accentuées (surtout pour les premiers rangs, derrière c’était plus raisonnable). Heureusement, les artistes étaient tous à la hauteur. Il y avait une palette assez étendu de style : Moumoon, Spyair, Shonen Knife ou Anna Tsuchiya. Vendredi les concerts étaient plus intimiste, aucun d’entre eux n’étant des têtes d’affiches.
Sur les autres scènes les vocaloïdes et autres idoles de maids café on fait leur show devant un public parfois étonné, souvent conquis.
Je tiens à féliciter le quartier de Tsukiji ou j’ai mangé des sashimi de folies ! J’avoue quand même n’avoir pu y aller que le dernier jour avec les réductions de fin de salon. La qualité était excellent, si je les avais payé plus cher je n’aurais pas été volé bien au contraire, j’ai même regrété de ne pas y être passé samedi.
Les différentes stands étaient pris d’assaut, là ici pluralité était le mot d’ordre : takoyaki, tonkastu, ramen, curry, sashimi, kakigori la diversité de la cuisine japonaise était au rendez-vous. Il manquait sans doute un Marie crêpe pour vraiment se sentir à Harajuku !
Je n’ai pas pu assister à la découpe du thon, mais j’ai trouvé l’idée vraiment originale. Pour ma défense j’avais déjà assisté à la découpe d’un thon à Tsukiji même en 2006…
Je souhaites de tout coeur que le salon se développe et offre une alternative aux conventions comme Japan Expo ou Paris Manga.
A l’année prochaine Du 19 au 21 septembre avait lieu la première édition du festival Tokyo Crazy Kawaii (TCK) à Paris au Parc floral à Vincennes.Un salon sans contre façon chinoise ? Un salon avec que des stands japonais ? Des activités typiquement japonaises ? C’était le pari fou de Tokyo Crazy Kawaii.
Du 19 au 21 septembre avait lieu la première édition du festival Tokyo Crazy Kawaii (TCK) à Paris au Parc floral à Vincennes.
Un salon sans contre façon chinoise ? Un salon avec que des stands japonais ? Des activités typiquement japonaises ? C’était le pari fou de Tokyo Crazy Kawaii.
Le salon était divisé en plusieurs parties, elles représentaient un quartier de Tokyo : Shibuya, Harajuku, Akihabara et Tsukiji. L’année prochaine il ne serait sans doute pas inintéressant d’ajouter le quartier d’Asakusa pour les stands sur la culture plus traditionnelle. Car certains d’entre eux avec des produits plus traditionnelles semblaient orphelins éparpillés dans le salon. On pouvait par exemple participer à une cérémonie du thé, acheter des furoshiki ou des kokeshi.
Après deux jours de ce salon hors du commun je dois dire que j’ai eu une impression très positive. Il me semble que le gros défaut du salon était son manque de contenu (on faisait le tout des stands en 20 min chrono) compte tenu du prix élevé de l’entrée (18€). Il fallait venir pour une des attractions (concerts, défilé, cosplay etc.) pour en avoir pour son argent. Il y a cependant un goût de trop peu. C’est une première édition, il faut espérer que les suivantes seront plus affinées.
La belle Anna Tsuchiya
Les concerts étaient vraiment sympa, même si je n’étais fan d’aucuns artistes. La scène était en extérieur (heureusement il a fait beau), le son était très fort et les basses souvent bien trop accentuées (surtout pour les premiers rangs, derrière c’était plus raisonnable). Pensez à mettre des bouchons lorsque vous venez en concert, même en extérieur. Il en va de votre santé !
Les artistes ont tous été à la hauteur de l’événement. Il y avait une palette assez étendu de style : Moumoon, Spyair, Shonen Knife ou Anna Tsuchiya. Vendredi les concerts étaient plus intimiste, aucun d’entre eux n’étant des têtes d’affiches. J’ai pu faire des photos dans de bonnes conditions, même si parfois nous étions nombreux dans la fosse presse.
Sur les autres scènes les vocaloïdes et autres idoles de maids café on fait leur show devant un public parfois étonné, souvent conquis.
Je tiens à féliciter le quartier de Tsukiji où j’ai mangé des sashimi de folies ! J’avoue quand même n’avoir pu y aller que le dernier jour avec les réductions de fin de salon. La qualité était juste démentiel, si je les avais payé plus cher je n’aurais pas été volé bien au contraire, j’ai même regretté de ne pas y être passé samedi.
Les différents stands étaient pris d’assaut. Pluralité était le mot d’ordre : takoyaki, tonkastu, ramen, curry, sashimi, kakigori la diversité de la cuisine japonaise était au rendez-vous. Il manquait sans doute un Marie crêpe pour vraiment se sentir à Harajuku !
Découpe du thon rouge à Tsukiji (2006)
Je n’ai pas pu assister à la découpe du thon, mais j’ai trouvé l’idée vraiment originale. Pour ma défense j’avais déjà assisté à la découpe d’un thon à Tsukiji même en 2006…
Notons la présence de Madame Tomomi Inada Ministre d’État chargée de la Réforme réglementaire, également chargée de la Réforme administrative, de la Réforme de la fonction publique, de la Stratégie Cool Japan et de Challenge Again… Le Japon veut enfin affronter l’étranger et attirer les touristes et faire oublier Fukushima ! Good !
Je souhaites de tout coeur que le salon se développe et offre une alternative aux conventions comme Japan Expo ou Paris Manga.
A l’année prochaine !
Shonen Knife à la sortie du concert
ça c est pas mal, c est le genre de salon qui me tenterai bien avec les enfants, histoire de leur faire decouvrir le japon, a voir, peux etre l année prochaine!
J’espère qu’ils baisseront les prix quand même sinon ça va te revenir cher !