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Après l’anime le manga : Rascal does not dream of Bunny girl senpai

Dans de précédent article je vous ais parlé de l’anime Rascal does not dream of Bunny girl senpai et de sa suite le film Rascal Does Not Dream of a Dreaming Girl. Cette fois je vais me pencher sur l’adaptation en manga en deux tomes édité par Ototo. Il est dessiné par NANAMIYA Tsugumi toujours d’après le light novel de KAMOSHIDA Hajime.

Sakuta Azusagawa est un lycéen en première un peu étrange. Un jour, alors qu’il se trouve à la bibliothèque, il y aperçoit une jeune fille déguisée en bunny girl que personne d’autre ne semble remarquer. Il s’agit en réalité de Mai Sakurajima, une jeune actrice connue dans tout le pays qui se trouve être également une des élèves de l’école de Sakuta. À force de discussions, ce dernier va bientôt comprendre que derrière ce costume se cache un problème beaucoup plus profond qui parasite la vie de cette lycéenne. Dans cette ville coincée entre le ciel et l’océan, le rideau s’ouvre sur une étrange histoire d’amour entre les deux adolescents.

SEISHUN BUTA YARO WA BUNNY GIRL SENPAI NO YUME WO MINAI Volume 1 ©HAJIME KAMOSHIDA/TSUGUMI NANAMIYA 2016 / KADOKAWA CORPORATION

Ne vous laissez pas influencer par le titre un peu énigmatique ou le fait que Mai Sakuraijima soit habillée en bunny girl. Ça n’est en rien du fan service. Rien de bizarre ou de gratuit. C’est totalement intégré au scénario. Le fantastique s’invite dans l’équation et Sakuta Azusagawa semble le seul à pouvoir dénouer les problèmes liés au « syndrome de la puberté ».

Cette adaptation n’ayant que deux tomes au compteur, elle ne retrace que la première histoire entre Sakuta Azusagawa et Mai Sakurajima. On rencontre les autres protagonistes (Kaede, sa sœur, Rio Futaba une de ses amies etc.) sans que leur histoire ne soit abordée. Une bonne occasion de vous précipiter sur l’anime toujours disponible sur Wakanim ! Et oui, car tout ce joli monde s’imbrique parfaitement pour une histoire plus globale qui répond à bon nombre de questions comme la présence de la cicatrice sur le torse de Sakuta.

Le seul petit hic pour moi, c’est que je préfère les dessins de l’anime, j’ai un peu de mal avec ceux de NANAMIYA Tsugumi que je trouve parfois un peu amateur, c’est le seul point négatif. Cependant je suis tatillonne car globalement c’est une très bonne adaptation. On y retrouve ce qui fait le charme d’Aobuta, des personnages attachants, quelques situations cocasse et une histoire d’amour tout en finesse.

Bref, vous l’aurez compris ce manga est surtout l’occasion pour ceux qui n’ont pas vu l’anime de faire une petite incursion dans le monde d’Aobuta. Il n’est peut-être pas indispensable si vous avez déjà vu la série. Je croise surtout les doigts pour qu’un jour le light novel original soit traduit en français. Pour le coup, ça, ça serait génial.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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