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Déception : Somnia les faiseurs de rêves

Somnia les faiseurs de rêves est l’œuvre de deux Italiennes, tout d’abord Federica Di Meo au dessin, puis Liza E Anzen au scénario. Publié en Italie chez Panini, c’est sans surprise que nous retrouvons ce manga en deux tomes chez le même éditeur en France.

C’est quoi l’histoire ?

Myra est une jeune fille tout à fait singulière. Alors que le monde autour d’elle éprouve et exprime une large gamme d’émotions, il lui est impossible d’en ressentir. Curieuse de comprendre ce que sont les rêves et ce que signifie le mot «souhait», elle intègre la Guilde des Créateurs, l’endroit où naissent les rêves. La tâche ne s’avère pas de tout repos pour la demoiselle, qui a attiré l’attention de deux individus aussi énigmatiques que fascinants, d’autant qu’un coup de théâtre va la propulser à la tête de la Guilde !

© by DI MEO Federica / Panini Italy
Assommant

Les 100 premières pages m’ont plutôt plu, je me suis même demandée pourquoi j’avais lu des retours négatifs sur ce titre. Et puis, j’ai enchainé la suite. Plus on avance, plus le titre se perd dans histoires secondaires alambiquées et peu intéressantes. J’ai ensuite perdu le fil, c’est long, y a plein de personnages. Trop de choses pour peu de place, la série se terminant en deux tomes. Est-ce que c’était raisonnable d’inventer un lore aussi imposant pour juste une série courte. J’imagine que pour les autrices il va de soit que c’est important, mais pour le lecteur c’est vite assommant. Qu’est ce qu’on doit retenir, qu’est-ce qu’on doit zapper ?

Il est vrai que je n’aime pas trop parler d’un titre que je n’aime pas car ce n’est que mon avis, et bien entendu d’autres personnes peuvent aimer. Les dessins sont jolis même si les personnages sont un peu raides. On sent une belle maîtrise de la mise en page. La narration très bavarde rebutera sans doute plus d’un comme moi. A choisir il y a des tas d’autres mangas bien plus immersif à lire en ce moment.

Je n’ai pas du tout accroché à Somnia les faiseurs de rêves, pourtant le début était prometteur. 

Public : Tout public

Service presse

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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