Detective Conan : Wild Police Story
Detective Conan : Wild Police Story est un spin-off du fameux manga Detective Conan de Gosho Aoyama. Il est dessiné par Takahiro Arai et prend place à l’académie de police avec Rei Furuya.
C’est quoi l’histoire ?
L’histoire se déroule 7 ans avant les aventures de Shinichi Kudô, le célèbre détective lycéen. On y suit Rei Furuya et de Jinpei Matsuda, deux élèves de l’école de police japonaise qui s’avèrent également être de grands rivaux. Bien qu’ils soient couverts par leurs camarades de promotion et malgré leurs querelles, ceux-ci parviendront-ils à faire leurs preuves auprès de leurs supérieurs au sein de l’académie ?
La genèse
Rei Furuya et de Jinpei Matsuda, deux élèves de l’école de police japonaise sont également rivaux. Le manga débute avec nos deux compères qui se bagarrent, mais pas d’inquiétude, c’est le signe qu’ils vont devenir de très bons amis. Jinpei Matsuda est a fait une apparition dans le manga car c’est un un membre de l’escadron des bombes de la police de Tokyo. Ce personnage qui n’aura qu’un tout petit rôle aura marqué les lecteurs. Si bien qu’on racontera ici sa rencontre et comment il devient amis avec Rei. Il sera fait aussi référence à lui dans le film Détective Conan – La fiancée de Shibuya sorti cette année en France. C’est d’ailleurs de ce dernier d’où m’est venue ma passion pour Rei et mon envie de lire ce diptyque.
Les différentes histoires sont quant à elles assez bateau, mais l’important c’était surtout de combler ce passage de la vie de Zéro et de ses amis. Et quand on connait leurs destins c’est d’autant plus prenant. Qui plus est, les dessins sont juste magnifiques. La ressemblance avec le style de Gosho Aoyama est parfaite. L’immersion est parfaite.
On en veut plus !
Le seul gros défaut de ce titre, c’est qu’on aurait pu n’en fait qu’un seul tome. Une grosse partie de chaque tome -déjà pas bien gros- est remplis avec le storyboard (nemu). Bon ok soit pourquoi pas c’est toujours un peu instructif… Le petit bonus sympa ce sont les questions posées à Gosho Aoyama. Même s’il répond bien souvent de façon très japonaise, c’est à dire très laconique. Il y a d’autres petits dossiers, des informations sur les personnages qui rendent l’aventures plus immersive.
Wild Police Story m’a beaucoup plus, cependant on va pas se mentir, c’est trop court. J’en voulais plus surtout que je n’ai pas l’impression que la formation de nos amis ait durée plus de quelques mois. Bref, un goût de trop peu, pour le reste c’est du bonbon quand on adore ces personnages. J’attends Zéro à l’heure du thé maintenant !
Public : Tout public