Pirates des Caraïbes 5 : retour aux sources !
Je dois être honnêtes avec vous, je ne pensais pas aller voir ce cinquième opus des Pirates des Caraïbes car j’avais détesté le 4e : La fontaine de jouvence. Si bien que je n’avais nullement prévu d’aller le voir -même en sachant qu’Orlando Bloom était de la partie-. Mais, j’ai été invité par Luciole à une diffusion presse. Alors, oui pourquoi pas. Et j’ai bien fait.
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar
Synopsis : Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…
Avis : Fait rare nous avons eu une diffusion en VO et en 3D. Je déteste la 3D (mal au crâne, deux paires de lunettes etc.), mais je dois dire qu’elle était plutôt pas mal. Même si au final elle m’a donné mal au crâne je l’ai trouvé bien intégrée.
Cet épisode prend place 17 ans après la fin du troisième film : Jusqu’au bout du monde. On oublie le très mauvais La Fontaine de Jouvence et on reprend la malédiction qui a frappé Will Turner. Au scénario on retrouve Jeff Nathanson (Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal) ça fait un peu peur vu comme ça mais il s’est pourtant bien débrouillé. A la réalisation se sont les Norvégiens Joachim Rønning et Espen Sandberg (Bandidas) et là aussi ça pouvait faire peur mais à l’instar de leur camarade scénariste ils se sont bien débrouillés.
Jerry Bruckheimer, producteur du film, a étoffé le casting avec de nouvelles têtes Javier Bardem (No Country for Old Men), Brenton Thwaites (The Giver, Maléfique) et Kaya Scodelario (Skins et Le labyrinthe). Ce sont toutes de bonnes recrues qui relancent la saga, tout en gardant nos repaires.
Les effets spéciaux sont vraiment à tomber par terre, l’humour est au rendez-vous – Mention spéciale à Paul McCartney (je n’en dis pas plus !) – et on repart avec l’hymne du film dans la tête pour la semaine.
Contrairement à son prédécesseur Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar fait son job, au final on a un divertissement drôle et jouissif. On efface les mauvais moments et on revient à l’essentiel de la saga : de l’humour, de l’amour et un Jake Sparrow bourré et insolent. Je ne vous cache pas qu’il y a aussi quelques moments d’émotions. On peut toujours dire ceci ou cela aurait été mieux, ce passage est un peu faible, on n’avance peu au début… C’est vrai il n’est pas parfait. Mais on revient de loin !
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar est un très bon divertissement qui vous plaira autant qu’à moi (et pourtant j’y suis allée en traînant les pieds). A l’abordage !
J’étais en train de lire ton résumé et je me disais « c’est bizarre ça reprend le scénar du 4 » en fait c’est ça c’est le résumé du 4 XD
Pareil le 4 m’avait pas laissé un souvenir impérissable donc l’arrivée d’un nouvel opus ne m’avait pas particulièrement rejouïe. J’essaierais de le voir quand même 🙂
Ah merde la lose XD pourtant j’étais sur le 5 @@ merci !
Bha franchement à la base je voulais pas y aller, bon là c’était gratos alors why not et j’ai été très agréablement surprise.