Don’t Trust the B—- in Apartment 23, juste pour rire
C’était un week-end pépère où on notre seule envie c’était de glander sur le canapé en regardant une série pas prise de tête. Après une petite recherche sur l’interface de Netflix on tombe sur Don’t Trust the B—- in Apartment 23. Et pourquoi pas ! Cette série comique de 2012/2013 n’a eu en tout et pour tout que deux saisons.
Le pitch est court : Une gentille, honnête et optimiste jeune fille de l’Amérique profonde est contrainte d’emménager avec une vraie garce, sexy et sans morale.
C’est vraiment le genre de série où tu es déçue qu’il n’y ait pas eu plus de saison. Alors certes, on peut vite tourner en rond, mais tout de même, j’ai passé un très bon moment devant et j’aurais bien continuer encore.
On y retrouve des personnages haut en couleur campés par des acteurs fort sympathique. Je commence par Krysten Ritter que j’aime beaucoup dans Breaking Bad et Jessica Jones et qui offre une facette très différente de son travail dans Don’t Trust the B—- in Apartment 23. Elle a cette allure distinguée alors que c’est une peste de première. Cela lui va à ravir !
Autre personnage totalement hilarant, James Van Der Beek qui joue son propre rôle avec beaucoup de second degré. Sérieusement on a envie d’être aussi son pote. L’héroïne, Dreama Walker, eest la plus passe partout, et semble parfois en retrait par rapport aux deux autres.
Quant aux personnages secondaires sont tous un peu farfelus, mais font aussi tout le sel de la série.
Petit bémol aussi lors de la saison deux, certains épisodes sont dans le désordre ce qui laisse souvent perplexe. On revient subitement en arrière sans qu’on comprenne pourquoi.
Mise à part ce petit défaut, la série vaut vraiment le coup d’œil. Cette petite comédie fraîche et rigolote fait passer un bon moment. Les deux saisons sont disponible sur Netflix.