Cinéma

Deadpool 2 : C’est aussi bon la 2e fois

Après la bonne surprise que fut Deadpool 1er du nom le 2e opus allait-il être à la hauteur ? C’est David Leitch, réalisateur de John Wick et Atomic Blonde qui a cette fois été engagé. Le premier Deadpool est devenu le plus gros succès au box-office mondial pour un long métrage classé R aux Etats-Unis (les mineurs de moins de 17 ans doivent être accompagnés d’un adulte). En France il est « juste » interdit au moins de 12 ans. Oui, on est comme ça chez nous.

L’insolent mercenaire de Marvel remet le masque !
Plus grand, plus-mieux, et occasionnellement les fesses à l’air, il devra affronter un Super-Soldat dressé pour tuer, repenser l’amitié, la famille, et ce que signifie l’héroïsme – tout en bottant cinquante nuances de culs, car comme chacun sait, pour faire le Bien, il faut parfois se salir les doigts.

Deadpool cartonne déjà au box office et il a de quoi car il est tout aussi bon que son prédécesseur. Certes il n’y a plus l’effet de surprise, mais le reste y est. C’est drôle, plein de clin d’œil, le quatrième mur est explosé, c’est sanglant, grossier et tout et tout. Si vous connaissez l’univers MARVEL et que les blagues de geek ne vous font pas peur vous devriez trouve votre compte.

Le premier film avait coûté à peine 58 millions mais après son énorme succès le budget explose pour cette fois atteindre 110 millions de dollars et ça se ressent au niveau des effets spéciaux. Plus de combats, plus d’effet spéciaux et même le château des X-men.

On retrouve avec plaisir les anciens personnages, mais aussi on en découvre d’autres tout aussi intéressant comme la chanceuse Domino et le terrible Cable.

Deadpool 2 a évité la surenchère, mais aussi les redites. Cette suite est donc excellente, si comme moi vous pleuré de rire durant le générique, c’est parce que le film a fait le job. C’est assez délirant de rire autant avec un film d’action aux morts bien crade. Les films Deadpool sont des films qui ne ressemblent à aucun autre.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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