Chantons sous la pluie
Le Japon c’est un pays pratique. Dès qu’il pleut les parapluies apparaissent dans les boutiques.
Nombreux et pas chers personne n’aurait l’idée saugrenue d’être trempé. En France c’est plutôt l’inverse. La météo à beau prévoir la pluie, pourquoi s’encombrer ? Et puis, souvent ils se trompent… et puis soyons honnêtes on les perd si facilement ! Vous n’avez jamais remarqué que quand il pleut on ne trouve pas de parapluie ? Il n’y a pas vraiment ce genre de soucis au Japon.
Ils sont peu chers entre 190 et 590 yens (environ : 2 à 5€), transparents ou non, avec ou sans bouton pour l’ouverture… Ils ne sont pas fait pour vivre longtemps. Les jours de grand vent leurs cadavres démembrés agonisent sur les trottoirs…
Toujours le côté pratique il existe des sachets en plastique pour protéger le sol des boutiques de l’eau qui dégouline des parapluies. Il y en a des automatique (ci-dessous) et des manuels (ci-dessus). J’appelle ça des préservatifs à parapluie. En tous les cas c’est super pratique.
J’en vois qui s’énerve au fond… Je suis d’accord côté écologie c’est un zéro pointé. Beaucoup de plastique utilisé pour quelques minutes seulement. Même si sur la photo suivante ce n’est pas évident, ces préservatifs pour parapluie sont en grande majorité dans les poubelles. Je n’ose imaginer le carnage chez nous ^^’
On dit toujours qu’on n’est jamais volé au Japon, mais il existe quelques exceptions comme les parapluies (et les vélos). Ils sont souvent échangés, de toute façon ils se ressemblent tous ?
