[Ciné] Bilan du mois d’octobre
J’ai regardé plein de séries et ça se voit, je n’ai pas eu le temps de regarder beaucoup de films. J’ai à peine eu le temps de revoir Harry Potter 7.1 et 7.2, ainsi qu’Iron man 3 . Promis je ferais mieux en novembre et décembre !
► J’ai vu 4 films
► dont 2 au cinéma
► J’en ai revu 3
► Pour un total final de 97 nouveaux films
Happy new year (cinéma – Vo – 2014)
Avis : (voir critique bientôt en ligne)
Le labyrinthe (Cinéma- VO – 2014)
Avis : (voir critique)
La Route (TV – VF – 2009)
Avis : Récit post apocalyptique La route est l’adaptation d’un best seller américain. On accompagne un père et son fils sur une route qui on l’espère va les emmener à une vie meilleure. Des flahsbacks nous raconte une partie de la vie de cet homme et de sa femme sans pour autant qu’on sache la cause de se chamboulement climatique. On a froid, on a faim pour eux.
Un jour je me plongerai dans le livre car il semble que les avis soient partagé sur les qualités de l’adaptation.
Hunger (TV – VO – 2008)
Avis : Le cinéma de Steve McQueen fait vraiment un cinéma très dur, souvent à la limite du supportable (12 Years a Slave).
Au début du film j’avais un peu de mal à rentrer dans l’histoire. Je dois dire que je sais pratiquement rien des prisons anglaises dans les années 70/80 et les revendications des prisonniers de l’IRA. Il n’y a presque aucun dialogues, ni aucune explications, de longs plans fixent succèdent à des moments de violences atroces. Il faut connaitre cette partie sombre de l’histoire anglaise pour comprendre. Cependant, sans connaitre le fond du sujet difficile de ne pas ressentir de malaise autant du côté des prisonniers que des gardiens. Tout le monde souffre, il ne semble y avoir que la voix de Margaret Thatcher qui soit imperturbable face à cette barbarie.
Le film est scindé par un dialogue long d’une vingtaine de minutes où on comprend enfin le pourquoi du comment et qui introduit la longue agonie de Bobby Sands.
C’est l’anti-thèse de Pride que j’ai vu le mois dernier. Hunger est noir, dur, insoutenable, et les lueurs d’espoirs sont rares. On en ressort lessivé, sans larmes, mais avec un profond dégoût. La prestation incroyable de Michael Fassbender (Magneto dans X-MEN) dans la seconde partie du film fait froid dans le dos.