Cinéma

Sing Street : un film brillant et revigorant

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C’est la bande annonce de Sing street diffusée au cinéma qui m’a convaincu d’aller le voir. Et une chose est sûre je n’ai pas été déçu.

sing_streetSing Street

Synopsis : Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7, vibrent dans les écouteurs des walkmans et le rendez-vous hebdomadaire devant  « Top of the Pops » est incontournable.

Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter.

Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir,  il lui propose de jouer dans son futur clip.

Avis : Je venais de sortir d’une séance de ciné éprouvante, les yeux rouges et le cœur lourd. J’y ais retrouvé l’envie de croire en ce qui est beau.

Sing street est un feel-good movie comme je les aime avec en plus une bande son explosive. Les chansons écrites pour le films sentent bons les années 80, c’est du beau travail. Enfin, c’est sans compter sur les tubes de The Cure, A-ha, Duran Duran, The Clash, The Jam ou Motörhead. Une bande son travaillé dans laquelle on se replongera une fois le film achevé. Elle vous poursuivra bien après être sorti de la salle de ciné.

La musique à ce pouvoir de nous soutenir pendant les épreuves difficiles, elle nous porte.

Si les facilités scénaristiques sont présentes, elles n’entachent pas la fraîcheur du propos. Les jeunes comédiens sont tout aussi authentique. C’est aussi un plaisir de retrouver Aidan Gillen (Game of thrones) dans le rôle du père de Conor.

Je ne sais si vous vous souvenez de ce bonbon qu’on avait quand on était jeune qui quand on le mettait dans la bouche crépitait ? Le film du réalisateur Irlandais John Carney donne cet effet. C’est pétillant, étonnant, irrésistible.

Que vous dire pour vous convaincre d’aller voir Sing street ? Allez-y il vous collera un large sourire à la face avec l’envie de chanter et de vivre ses rêves. C’est un énorme coup de cœur.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

Une réflexion sur “Sing Street : un film brillant et revigorant

  • Un bon bon oui, c’est ça. Et pas trop piquant, ni trop mielleux !

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