Voyage – Hong-Kong – Jour 13
Ce matin nous sommes fatigués de la veille. J’ai encore mal aux pieds et mes jambe sont raides. Nous avons décidés d’y aller à la cool ! Sofia doit partir à l’école mais elle n’est pas contente que l’on parte et pleure, c’est super triste :'( On ne se reverra pas avant l’été.
Nous accompagnons Julie à son taf, et on revient seuls comme des grands. J’en profite pour prendre encore quelques photos. Ensuite, on se repose dans leur appartement où je range une dernière fois nos sacs.
A 11h Julie revient, on dit au revoir à toute la petite famille avant de prendre un taxi pour rejoindre Nico près de son boulot. On se fait un dernier repas, des ramens, histoire de se remettre dans l’ambiance !
Cette fois Nico nous amène en taxi à la station de métro qui mène à l’aéroport. J’avoue je suis prudente sur l’horaire car je n’ai pas envie de louper l’avion une nouvelle fois. Le train met 25 min pour arriver, il est très propre et silencieux.
On attend de pouvoir s’enregistrer et ensuite on part faire les boutiques je trouve encore quelques bricoles à acheter. Et cette fois je ne me fais pas avoir j’achète une bouteille d’eau. J’ai gardé des sticks de fromage et des gâteaux que m’a donné Julie ce matin pour le trajet.
L’embarquement se fait vite, même si mes « souvenirs » de Hong-Kong vont me valoir la fouille de mon sac. Le trajet est moins long qu’à l’aller et même si on est séparé par le couloir nous ne sommes pas loin.
Il est tard quand nous arrivons à Narita, il faut vite aller au guichet du Narita Express avant sa fermeture. Pas question de passer une nuit blanche à l’aéroport. 4 min après avoir récupéré nos billets nous sommes dans le train en direction de Yokohama.
Une heure 30 et correspondance plus tard nous arrivons à Tsurumi. Ce qui est bien au Japon c’est qu’on peut s’acheter à manger à n’importe quel heure ! Il est minuit passé, mais ce n’est pas grave nous passons à la conbini acheter à manger. Nous faisons attention de ne réveiller personne avec notre clef. On mange dans notre chambre et on tombe dans les bras de Morphée.
