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Egypte : Assouan

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Dans l’après-midi le bateau accoste à Assouan. Des centaines de bateaux sont amarrés sur une des rives du fleuve.
Je repère bien l’endroit car les bateaux sont nombreux et on peut vite se tromper… Il y en a parfois 4 ou 5 accrochés les uns aux autres. L’entrée principale de chaque bateau correspond avec l’entrée du bateau voisin. Si votre bateau est le 4e, vous allez passer dans 3 autres halls de bateaux avant d’accéder au vôtre. C’est assez hallucinant et déconcertant.
*autres photos*

J’empreinte la route sur la gauche essayant de semer un conducteur de calèche qui veulent vendre leur service pour pas cher. J’avoue, je ne suis pas habituée à cette agression permanente. Toutes les 30 secondes quelqu’un vous demande : calèche ? Calèche pas cher ? 2 euros !
Mais quelle insistance… Ça en devient vite TRÈS lourd. Idem pour les felouques le long du fleuve. Enfin, je trouve vite la parade, ne pas répondre et passer son chemin, même s’ils vous suivent quelques mètre, ils vont de toute façon abandonner.

Ce chemin ne mène nul part rien de bien intéressant, je rebrousse chemin. Il y a des militaires dans certaines rues. C’est à la fois stressant et rassurant. J’ai encore en tête les attentats en Egypte en 97. Nous passons rapidement devant la gare d’Assouan en évitant le souk et je trouve enfin un distributeur qui fonctionne sur la route après plusieurs échecs !!!

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Le soir tombe sur la montagne… Toujours aussi beau !
*autres photos*

Je compte mes sous. Les billets sont usés et beaucoup ne valent pas grand chose. Mais j’en ai c’est le principal. Ca me servira à acheter de l’eau moins cher en ville par rapport aux bouteilles vendu sur le bateau.

Nous décidons de demander si d’autres personnes de notre groupe ne voudraient pas nous accompagner à Assouan le lendemain pour visiter la ville. Rendez-vous est donc pris…

Halala. Notre cuisine prend feu !! si, si ! Du coup nous devons attendre pour le repas et nous n’aurons pas de viande au menu. Bon, apparemment nous ne coulons pas c’est déjà ça.

Tanja

Tombée très tôt amoureuse du Japon, Tanja écrit sur la J-music, les mangas et les anime depuis 1997 dans des fanzines puis sur plusieurs webzine et sur son blog. Dès que l'occasion se présente elle part au Japon se ressourcer.

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